dimanche 24 février 2013

On pense avec les pieds

Marcheur, il n'y a pas de chemin,

Marcheur, ce sont tes traces
ce chemin, et rien de plus ;
Marcheur, il n'y a pas de chemin,
Le chemin se construit en marchant.
En marchant se construit le chemin,
Et en regardant en arrière
On voit la sente que jamais
On ne foulera à nouveau.
Marcheur, il n'y a pas de chemin,
Seulement des sillages sur la mer.

Antonio MACHADO



Lesquelles, mes traces ? Mon chemin, mes pas me semblent cohérents, guidés par de successifs maîtres-à-dépasser - reprendre la chronologie de ce journal. Aujourd'hui, c'est une nouvelle croisée. Mais, celle-ci, tout indique que j'ai voulu y parvenir, à la différence sans doute des précédentes davantage subies.

Il y a un angle à prendre, pour surmonter quelques féroces contradictions, et gagner en santé. Pas à pas - chemin faisant.

En marchant, ce pourrait être de devenir accompagnateur en montagne.


Qu'est-ce donc ? (wiki)

« Accompagnateur en moyenne montagne » est une profession fondée en 1976 (décret de Pierre Mazeaud, secrétaire d'État à la jeunesse et aux sports) dans la filière du Brevet d'État de l'alpinisme comme métier complémentaire à celui de guide de haute montagne pour répondre aux attentes des nouvelles clientèles en quête de découverte du milieu montagnard.
Les premiers accompagnateurs en moyenne montagne sont à la fois des montagnards en recherche de bi-activité. On y trouve des gardiens de refuge, des agriculteurs de montagne et des néo-montagnards qui viennent s'installer dans les villages de montagne lors de la grande vague du « retour aux sources » de la fin des années 1960.
Quelques personnes, issues du tourisme social, des réseaux religieux liés à l'Église réformée, des dispositifs d'accueil des jeunes durant la seconde guerre mondiale, organisent le réseau embryonnaire des accompagnateurs en moyenne montagne avec quelques communes de montagne, les premiers offices de tourisme et des institutions telles que le CRET (Briançon) ou l'AFRAT (Autrans).
Cette profession auto-proclamée à l'extrême fin des années 1960 n'existe que par l'accord implicite des guides de haute montagne (profession fondée en 1828 avec la compagnie des guides de Chamonix et codifiée par l'État en 1947).
Des relations personnelles particulières entre Jacques Cadier, fondateur de l'UNAM (Union nationale des accompagnateurs en montagne) et Paul Keller, président du SNGM (Syndicat national des guides de montagne) permettent la prise en compte de cette nouvelle profession naissante par le Comité consultatif du ski et de l'alpinisme de l'ENSA (école nationale de ski et d'alpinisme) en 1972.
La Fédération française de la montagne (F.F.M.), ancêtre de l'actuelle F.F.M.E (Fédération française de la montagne et de l'escalade), délégataire de l'alpinisme avait énoncé le besoin de création de cette nouvelle profession dès 1968 par la voix de Lucien Devies son président. La genèse de la nouvelle profession s'inscrit également dans une logique de pluri qualification des gens de montagne pour participer au maintien au pays des jeunes générations tentées par l'exode urbain.
Sur recommandation de la Commission consultative du ski et de l'alpinisme, le gouvernement, sous l'impulsion de Pierre Mazeaud, codifie la profession et l'installe dans la filière du Brevet d'État de l'alpinisme en 1976 sous l'intitulé « accompagnateur en moyenne montagne ». Le premier examen probatoire, validant l'entrée dans le cursus de formation se déroulera en 1978 et la première promotion donnera lieu à la délivrance de nombreuses « autorisations d'exercice » pour les accompagnateurs en montagne formés par l'UNAM, le CRET, l'AFRAT, certaines directions départementales de la Jeunesse et des Sports (Savoie, Haute-Savoie, Hautes-Pyrénées...) entre 1971 et 1977.

L'activité professionnelle recouvre trois fonctions fonctions spécifiques, identifiables mais complémentaires :

  • les fonctions de guidage et de gestion de la sécurité des clients représentent une obligation de moyens ;
  • l'action de « transmission des techniques propres aux activités » est également importante et sous-jacente dans l'ensemble de leurs activités (amélioration des capacités physiques et techniques des clients) ;
  • l'action de médiation pour la découverte du milieu montagnard sous tous ses aspects (aspects naturalistes, aspects patrimoniaux, aspects humains). Médiation et interprétation ont pour objets la découverte, la compréhension et l'appropriation du milieu montagnard par les différents publics encadrés.
Pour exercer cette action de médiation, les accompagnateurs en montagne ont le choix entre plusieurs supports : la randonnée pédestre, la raquette à neige et, pour certains professionnels, les animaux de bât, le VTT (qualification complémentaire) ou le canyoning (AQA unique à ce jour délivrée en 1995).
La randonnée en montagne est une activité placée en environnement spécifique en tant que discipline associée à l'alpinisme. La raquette à neige est également une activité placée en environnement spécifique en tant que discipline associée au ski. L'encadrement contre rémunération de ces activités réglementées doit répondre aux exigences de la Loi de 1984 modifiée en 2000 (loi cadre sur le sport) « nul ne peut encadrer contre rémunération s'il n'est titulaire des certifications... »
« Interprétateurs » du milieu montagnard, les accompagnateurs en montagne s'adressent à un très vaste public : les individuels et les familles, les publics organisés et réglementés (scolaires, centres de vacances et de loisirs), les groupes constitués (associations, comités d'entreprise).
À 85 % implantés dans de petites communes de montagne, les accompagnateurs en montagne sont généralement assez actifs au sein des institutions touristiques de territoire (Offices de Tourisme, communes et communautés de communes) et représentent une force de proposition pour une montagne vivante tout au long de l'année.


Comment ? 

Pour commencer, il faut passer un "Probatoire", en septembre 2013, qui permet de se lancer dans la formation à organiser en 2 ou 3 ans. Il faut avoir 17 ans (a priori je les ai) et l'AFPS/PSC1 (c'est le cas, contre tout bon sens logico-pratique). Il faut alors présenter une liste de 20 randonnées, sorties d'au moins 4h, effectuées pour l'occasion (si possible avec au moins la moitié dans un seul et même massif, mais en tout cas au moins 10 en France) dont :
- 1 raid de 4 jours
- 6 randonnées de dénivellation supérieure à 1000m
- 8 autres randonnées
- 5 randonnées en moyenne montagne enneigée

A fournir avec le dossier à la DDJS, 2 mois avant le Probatoire, qui comprend comme épreuves :
- une épreuve de marche : randonnée de 7h avec environ 1500m+ et un sac de 10kg (+ eau/nourriture) pour les hommes, 8kg pour les femmes. Il faut donc une certaine condition physique, mais à partir de là...
- une épreuve technique de progression en terrains variés : elle suit l'épreuve de marche après au moins 15 minutes de repos. Il s'agit de trouver le bon compromis entre vitesse, agilité et sécurité. Bon...
- une épreuve de course d'orientation, le lendemain : 5 balises à trouver en un temps imparti, carte 1/25000e, 500m+ environ. C'est l'épreuve la plus sélective, semble-t-il. Beaucoup sont éliminés ici, certains par "perte pure et simple du candidat hors chemin", ce qui est extraordinaire. Jamais encore je n'ai croisé en montagne de candidats errants, vaincus par les balises, incapables de retrouver leur route, survivant dans les terriers et se nourrissant de racines de rhododendrons... 
- un entretien avec le jury portant sur le milieu naturel et humain, ainsi que le projet du candidat, et sa connaissance d'une des régions parcourues dans la liste de randonnées

Les survivants reçoivent un "Livret de formation" qui servira plus tard à exercer le métier contre rémunération dans certaines conditions (pas de neige, pas de scolaires, etc.). Alors, il reste 2 à 3 ans pour valider : 
- tronc commun métiers sportifs de la montagne (décembre 2013)
- UF connaissances fondamentales (avril/mai 2014) => le Livret devient utilisable
- Stage en situation (été 2014)
- UF milieu naturel estival (2015)
- UF moyenne montagne enneigée (ou moyenne montagne tropicale) (2015)
- examen final (2015)

Voilà. Il s'agira donc de trouver comment placer ces stages de 5 à 10 jours


Se préparer au probatoire

Au vu des attentes, ce qu'il me semble devoir faire d'ici septembre pour l'obtenir :
- documentation sur le milieu montagnard (faune, flore, géologie, météorologie, histoire, économie, etc.) et sur les régions et massifs qui figureront dans ma liste... un travail déjà largement en cours de toute façon
- refaire de la CO, histoire de retrouver et améliorer me technique
- aller marcher dès que possible en montagne, sur différents terrains et en différentes conditions, et parfois avec des accompagnateurs diplômés
- compléter une liste de 20 randonnées


La liste de randonnées

Il me semble assez pertinent de choisir le Vercors comme massif principal : c'est le plus proche, et les possibilités de randonnées y sont nombreuses et variées, en plus d'être un territoire très particulier qu'il va être passionnant de découvrir à fond.


TypeMassifNomD+/D-DateDuréeRéalisationObservation
RaidVercorsTraversée des Hauts-Plateaux




1000m+VercorsGrand Veymont




1000m+VercorsDomes du Glandasse




1000m+VercorsGrande Sœur Agathe




1000m+BaugesMont Pécloz1200m+ 1200m-21/10/126hAvec 2 adultesBelles éclaircies, temps très doux
1000m+VanoiseCirques du Marchet2000m+ 2000m-9/9/125h30SeulBeau temps
1000m+BelledonneCroix de Belledonne




AutresVercorsRochers du Parquet




AutresVercorsMontagne de la Pale




AutresVercorsCrêtes de la Molière




AutresVercorsRocher de la Balme




AutresBelledonneSept-laux




AutresChartreuseSommet du Pinet




AutresBaugesPointe Chaurionde




AutresBornesMontagne de Sous-Dine




RaquettesVercorsRocher du Cléton750m+ 750m-26/1/135hAvec 1 adulteBeau temps le matin, se couvrant l'après-midi
RaquettesVercorsPic St Michel700m+ 700m-3/3/134h30Avec 1 adulteGrand beau temps, très doux
RaquettesVercorsMoucherotte750m+ 750m-10/3/134h30Avec 3 adultesBelles éclaircies, très doux
RaquettesBaugesLa Cula600m+ 600m-9/2/135hAvec 1 adulteCouvert, quelques flocons, descente nocturne
RaquettesPilatLes Crêts300m+ 300m-12/1/134hSeulCouvert et froid

mercredi 20 février 2013

Le hors-champ de Caroline

La cible de Caroline Fourest, c'est moi. Moi, moi... on s'en fout, mais ! les gens comme moi. Pas un mot sur nous dans ses documentaires, pas un. Elle tourne, elle virevolte, autour et parmi les "réseaux de l'extrême". Il y a ceux qui n'ont pas vu d'avion dans le Pentagone. Je m'en fous. Il y a ceux qui veulent lapider leurs femmes. Je m'en fous. Il y a ceux qui ne jurent que par leur identité. Je m'en fous. Il y a ceux qui sont obsédés par Israël. Je m'en fous.

Je dis : "je m'en fous", et c'est faux. Ce que j'entends par là, c'est que je suis inattaquable sur ces sujets. Je pense être assez peu crédible en tant que force de lapidation ou mangeur de Juifs, si vous voulez. Au niveau scepticisme, j'ai ma dose. Question internationalisme, antiracisme et multiculturalisme, merci. Je n'ai pas à me prononcer sur des gens qui posent des bombes, qui défilent pour bouter les Arabes hors de France, etc.


 Qui sommes-nous, finalement ?

Anarchistes - sommons l'Autorité de se justifier, et, si elle n'y parvient pas, ne lui reconnaissons aucune légitimité.

Socialistes - "Notre socialisme [...] n'était nullement antinational. Il était essentiellement et rigoureusement, exactement international. Théoriquement il n'était nullement antinationaliste. Il était exactement internationaliste. Loin d'atténuer, loin d'effacer le peuple, au contraire il l'exaltait, il l'assainissait. Loin d'affaiblir, ou d'atténuer, loin d'effacer la nation, au contraire il l'exaltait, il l'assainissait. Notre thèse était au contraire, et elle est encore, que c'est au contraire la bourgeoisie, le bourgeoisisme, le capitalisme bourgeois, le sabotage capitaliste et bourgeois qui oblitère la nation et le peuple." (Péguy)

Démocrates - ce n'est pas aux hommes de pouvoir d'écrire les règles limitant leurs propres pouvoirs


A la suite de quoi, nous nous attaquons : à ceux qui détiennent (abusivement) le pouvoir. C'est-à-dire à l'oligarchie mondialiste qui possède les médias et sponsorise les politiciens. D'où une critique radicale des médias, des partis politiques, de la "démocratie représentative" (oxymore). 

Or, toute la stratégie de ceux que nous attaquons consiste à créer la grande confusion. Guy Debord l'avait déjà dit en 1957 : "Le but principal de l'idéologie de la classe dominante est donc la confusion."

Comment ? Il suffit de montrer quelques forcenés ; et, de pratiquer la stratégie de l'amalgame ou de la culpabilité par association. Empêcher toute critique de la "démocratie représentative" (oxymore), des médias, du capitalisme occidental, de la modernité, en l'assimilant à un extrême, à l'autre, peu importe puisqu'ils se rejoignent dans des réseaux, des nébuleuses.

Oh ! bien sûr la critique est "autorisée" : on a par exemple le droit de dire que Bush est vilain, mais à condition d'admettre qu'Obama est gentil. Faute de quoi, ce serait glisser vers l'anti-américanisme (c'est mal), et immédiatement l'anti-modernisme (c'est très mal), l'anti-démocratie (c'est super mal), et même le fascislamisme et l'antisémitisme (horresco referens !). On peut dire que TF1 c'est pour les chiens, si on admire Le Monde ou Arte. Ou alors, ce serait verser dans le populisme (mais c'est horrible !), et le fascisme (argh!).

Dans ces réseaux de l'extrême en quatre volets, Caroline Fourest ne pipe mot sur Etienne Chouard, et autres, tout aussi extrémistes dans leur critique du système. C'est eux qu'il faut passer sous silence. C'est nous. Je souhaite bien du courage à celui qui voudra faire de François Asselineau un fasciste ou un évadé d'hôpital psychiatrique. Nous sommes inattaquables sur ces terrains-là. C'est pourquoi sont attaqués tous les autres, sur leur extrémisme dans la critique du système, parce que cette attaque contre l'extrémisme permet de nous disqualifier par ricochet.

Il s'agit de marquer la ligne. Jusque-là, vous pouvez aller. Au-delà, ce serait dérapages nauséabonds. C'est de l'intimidation pure et simple. Pour cela, quelques mensonges et renversements sont bienvenus.

Le cas Dieudonné est exemplaire. Le "symbole de toutes les dérives". Alors que c'est le plus conséquent des antiracistes du pays ! Preuves :









Compris ?  

Toutes ces frontières nous ont mené à... rien... rien... rien du tout... 


Ces documentaires, dans la droite ligne de l'idéologie dominante, visent à poser les limites de la pensée. Mais, nous sommes trop décontractés. Nous sommes sûrs de nos valeurs. Nous défendons l'altérité. Il est impossible de nous assimiler à je-ne-sais quelles idéologies nauséabondes. Il va falloir en informer Caroline.

dimanche 17 février 2013

Se guérir de l'extrême

L'extrême, c'est mal. L'extrémisme, c'est très mal. Ce qui est bien, c'est le centre, le modéré, le... juste milieu. Là, on est bon. Le démocrate, quoi... le moderne... le de son temps... pragmatique. Je veux dire ? l'insensé qui s'en prendrait à quoi ! le Progrès ? les Droits de l'Homme ? la Démocratie représentative (oxymore) ? serait un dangereux maniaque.

Critiquer, c'est bien. Il est sain le hollandais qui tape sur le sarkozyste. Le réciproque l'est aussi. Douter, oui ! mais pas des faits. Caroline l'a dit. Question : c'est quoi, un fait ? Enfer et damnation !

Le pire, c'est qu'il y a plein d'extrêmes. Mais Dieu a fait qu'ils se rejoignent, afin de pouvoir s'en débarrasser d'un coup d'un seul, car Dieu a le sens pratique, et veut économiser le travail des médiacrates. 

Il y a l'extrême qui voit des complots partout. De tout temps ces gens ont existé, mais depuis le 11 septembre, ils prospèrent. Ils voient des complots à chaque coin de rue. Et je dois bien reconnaitre que je suis, moi-même, "théoricien du complot". C'est vrai, j'ai toujours pensé, dit, répété ! que Lance Armstrong était dopé, comme la plupart d'ailleurs de ses collègues. Caroline me le répétait pourtant : ne pas douter des faits ! ne pas douter des faits ! C'était plus fort que moi, j'avais beau connaitre les faits, par je ne sais quelle maladie mentale, je négationnais les centaines de contrôles négatifs qu'Armstrong avait pu passer (faits établis), et je persistais dans mon délire paranoïaque. Aujourd'hui, et grâce à Caroline, j'ai enfin compris, je reconnais les faits : Armstrong n'ayant jamais été contrôlé positif, il ne s'est jamais dopé. Ouf ! Je vais mieux, et peut-être pourrais-je me dispenser d'anti-dépresseurs dans quelques temps.

C'est comme le grand marché transatlantique. Aucun média n'en parlait jamais, et tous au contraire traitaient de "théoriciens du complot" ceux qui en parlaient. Les faits ! les faits ! ne pas en douter. Aujourd'hui, guéri de mes maladies psy, je reconnais l'inexistence d'un marché transatlantique, et je pense enfin que l'UE est faite pour faire contrepoids aux USA, ainsi que le clament depuis 50 ans médiacrates et politiques. Ouf ! Je vais mieux. 

Je sais désormais - merci Caroline ! - qu'il y avait effectivement des armes de destruction massive en Irak. 

Enfin, bref, les complots n'existent pas. Du moins en démocratie. Parce qu'il peut y avoir des complots contre la démocratie. Par exemple, il peut y avoir un complot pour éliminer DSK de la course à la présidentielle. Ou alors, un complot de l'Iran et de la Syrie, qui paieraient des intellectuels et artistes en Occident pour servir la Propagande des dictatures fascislamistes. Tout cela est non seulement possible, mais c'est prouvé avéré certifié. Au contraire, les démocraties ne fomentent aucun complot contre les autres pays, ne serait-ce que parce qu'elles aiment les autres pays, d'ailleurs. 

Ah ! c'est magnifique. 

Guéri de mon extrémisme de théoricien du complot, je le suis également de mon extrémisme fascislamiste. Et cela, grâce à Hassen Chalgoumi. Qu'il est beau ! Qu'il est vaillant ! J'hésiterais presque à le demander en mariage (parce que vous imaginez bien qu'il est pour le mariage homosexuel, ou alors Caroline ne l'interrogerait plus). L'islam moderne occidental démocrate protestant en somme, l'islam qui n'est plus l'islam, c'est tellement bien. C'est comme le catholicisme qui n'est plus le catholicisme. Le moderniste aime beaucoup le catholique et le musulman, puisque le moderniste est tolérant - simplement, il faut que le catholique et le musulman deviennent des modernistes, se renient, et on les autorisera à mettre une étiquette (mensongère) sur leur bonnet. Le juste milieu qui élimine les bords. S'il n'y a plus de bords, il n'y a que le milieu, tous pareils ! Ah ! ce sera formidable !

Aujourd'hui, les hommes et les femmes sont autant de Ford T, tous rigoureusement identiques, mais on peint les uns en vert, les autres en bleu, etc. et c'est l'éclate ! C'est ça, le monde de Dame Caroline. C'est trop mignon.

Panorama depuis La Palud




Un petit arrêt en redescendant du Col du Granier, au-dessus du hameau La Palud, et de Saint-André et son lac. La falaise du Granier est vraiment impressionnante, d'ailleurs, quand on y est au pied.







Panoramas :

Du Mont Blanc au Massif d'Allevard
de l'Allevard à Belledonne
Mont Blanc, Grand Arc, début de la chaîne de la Lauzière (Bellacha)
Grand Arc entre Tarentaise et Maurienne, chaîne de la Lauzière : Bellacha, Combe Bronsin
Lauzière suite : Aiguille de la Balme, Grand Pic de la Lauzière
Massif d'Allevard
Massif d'Allevard : Grand Moulins et Tête Perrière, Grand Miceau

Aiguilles de l'Argentière et Massif des Sept Laux :


Grandes Rousses, Belledonne (Grand Pic)


Quelques gros plans :

vins et Mont blancs
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Aiguilles de l'Argentière

Sept Laux :

Toute aide pour identifier les sommets est la bienvenue !...